Voilà un bien curieux aréopage. Une galerie de portraits apparemment sans queue ni tête. L’œil se perd à regarder ces tenues chamarrées. Et le badaud que je suis muse et se demande.
« Mais qui sont ces drôles de gens ? D’où viennent-ils ? Et pourquoi leur réunion ? »
Quelle drôle de bande à part.
On commence à comprendre. Tout cela est doucement ironique, un peu foutraque, et, pourtant, toujours sacrément juste.
Note à note, pas à pas, cette drôle d’assemblée commence à faire sens. Tiens, ils dansent ?
« — Vous dites ? répond un passant
— Mais si, regardez, ils dansent
— Tiens, mais c’est vrai. »
Et le promeneur jusque là peu attentif s’arrête à vos côtés. Face à vous, un drôle de roi de France se trémousse à côté d’une Édith Piaf de Carnaval. Un Marian bien troublant vous jette un long regard. Tranquille, un guerrier Maasaï se déguise en… Ah ! Mais je connais la suite ! Il se déguise en Nathalie Baye. Partout, la sarabande. Trop occupée à regarder, vous n’écoutiez plus vraiment. Peu à peu le carnaval improvisé a pris forme et vous ? Vous recommencez à dresser l’oreille. La mélodie vous attrape et vous vous prenez à fredonner un air bien accrocheur. Au milieu, un groupe de fous chantants, tout de blanc vêtu.
C’est vrai. Vous regardez un Kosmos.
« — Avec un “C” comme le nôtre ?
— Avec un “K”, presque comme le nôtre. »
Tout est dit, vous ne trouvez pas ?
Voilà un bien curieux aréopage. Une galerie de portraits apparemment sans queue ni tête. L’œil se perd à regarder ces tenues chamarrées. Et le badaud que je suis muse et se demande.
« Mais qui sont ces drôles de gens ? D’où viennent-ils ? Et pourquoi leur réunion ? »
Quelle drôle de bande à part.
On commence à comprendre. Tout cela est doucement ironique, un peu foutraque, et, pourtant,
toujours sacrément juste.
Note à note, pas à pas, cette drôle d’assemblée commence à faire sens. Tiens, ils dansent ?
« — Vous dites ? répond un passant
— Mais si, regardez, ils dansent
— Tiens, mais c’est vrai. »
Et le promeneur jusque là peu attentif s’arrête à vos côtés. Face à vous, un drôle de roi de France se trémousse à côté d’une Édith Piaf de Carnaval. Un Marian bien troublant vous jette un long regard. Tranquille, un guerrier Maasaï se déguise en … Ah ! Mais je connais la suite ! Il se déguise en Nathalie Baye.
Partout, la sarabande. Trop occupée à regarder, vous n’écoutiez plus vraiment. Peu à peu le carnaval improvisé a pris forme et vous ? Vous recommencez à dresser l’oreille. La mélodie vous attrape et vous vous prenez à fredonner un air bien accrocheur. Au milieu, un groupe de fous chantants, tout de blanc vêtu.
C’est vrai. Vous regardez un Kosmos.
« — Avec un “C” comme le nôtre ?
— Avec un “K”, presque comme le nôtre. »
Tout est dit, vous ne trouvez pas ?